Foreign Workers: To use them and lose them is wrong
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The use of replacement workers during a strike or lockout is an inherently violent act meant to destroy the basic human right to bargain collectively in good faith. Allowing replacement workers creates an imbalance in bargaining power that explicitly encourages some employers to impose trauma upon workers, their families and the surrounding community in order to achieve a unilateral settlement.
As UFCW Canada's National President, as well as president of UFCW Canada Local 175, the largest private sector local union in North America with over 50,000 members, I have personally witnessed on too many occasions the harm, injury, strife and anguish caused to our members by the use of replacement workers during a strike or lockout.
Employers will tell you their choice to use replacement workers is just another negotiating tool but the reality is that employers who resort to strike breaking are not interested in negotiating. In fact the plan to use replacement workers typically begins months before collective bargaining begins.
L'utilisation de travailleurs de remplacement pendant une grève ou un lockout constitue par nature un acte violent destiné à détruire les droits fondamentaux de la personne de négocier dans le cadre d'une convention collective et de bonne foi.L'autorisation de recourir à des briseurs de grève crée un déséquilibre en termes de pouvoir de négociation qui encourage ainsi expressément certains employeurs à infliger volontairement un traumatisme aux employés, à leurs familles et à la collectivité environnante dans le but d'en venir à un règlement unilatéral.
En ma qualité de directeur canadien de TUAC Canada, ainsi que de président de la section locale 175 de TUAC Canada, le plus grand syndicat local du secteur privé en Amérique du Nord comptant plus de 50 000 membres, j'ai personnellement été témoin à de trop nombreuses occasions de préjudices, de blessures, de conflits et d'angoisse infligés à nos membres suite à l'utilisation de jaunes au cours d'une grève ou d'un lockout.
Les employeurs vous diront que le recours aux jaunes n'est qu'un outil de négociation parmi d'autres, mais la réalité est que les employeurs qui ont recours au brisage de grève ne sont pas intéressés par la négociation.
En fait, le plan consistant à utiliser des travailleurs de remplacement commence d'ordinaire des mois avant que les négociations collectives ne débutent.
As a recent report by the Canadian Labour Congress points out, an increasing number of Canadian women face poverty and roadblocks as workers and as parents.
The CLC report is informative and disheartening.
In 1977 the United Nations declared March 8th to annually mark International Women’s Day; yet 30 years later Canadian women continue to face gender-based challenges, some of them from the federal government itself.
Since assuming power in January 2006 the Harper government has cut 43% of Status of Women Canada’s operating budget, closed 12 out of 16 regional offices, eliminated funding for research and advocacy for women’s equality and tore up the federal-provincial child care agreements; replacing them with a per-child cash subsidy which has done nothing to address the chronic shortage in Canada of affordable, quality daycare.
What can unions do to help?
Political activism is one responsibility. So is providing the unorganized with the tools to get organized, for as the report points out women in unionized workplaces have done far better over the last 30 years than their non-unionized sisters.
Comme le souligne le Congrès du travail du Canada dans un rapport émis dernièrement, un nombre croissant de Canadiennes font face à la pauvreté et à des barrières en tant que travailleuses et parents.
Le rapport du CTC est à la fois informatif et décourageant.2 En 1977, l’Organisation des Nations Unies a désigné le 8 mars pour marquer la Journée internationale des femmes; pourtant, 30 ans plus tard, les Canadiennes sont toujours aux prises avec des obstacles fondés sur le sexe, certains desquels proviennent du gouvernement fédéral lui-même.
Depuis son entrée au pouvoir en janvier 2006, le gouvernement Harper a retranché 43 % du budget de fonctionnement de l’organisme Condition féminine Canada, a fermé 12 de ses 16 bureaux régionaux, a éliminé le financement de la recherche et des subventions destinées à la promotion de l’égalité des femmes, et a déchiré les ententes fédérales-provinciales sur les garderies, les remplaçant par une subvention en espèces de 100 $ par mois par enfant qui n’a rien fait pour régler la pénurie chronique de services de garde de qualité et abordables au Canada.
Que peuvent faire les syndicats? Le militantisme politique est obligatoire.
ls doivent aussi fournir aux non-syndiqués les outils nécessaires pour se solidariser car, comme le rapport le précise, les femmes dans des lieux travail syndiqués se sont retrouvées dans une bien meilleure situation que leurs consoeurs non syndiquées au cours des 30 dernières années.
En tant que plus grand importateur canadien (voire mondial) de marchandise de la Chine, la prochaine commande entrante de Wal-Mart devrait inclure la même attitude prosyndicale que la compagnie a démontrée envers ses « associés » chinois à une vingtaine de magasins Wal-Mart en Chine, récemment syndiqués avec son assentiment.
Les TUAC Canada ont récemment eu le plaisir d’accueillir un groupe de syndicalistes venant de la All-China Federation of Trade Unions (ACFTU). Lors de nos pourparlers, nous avons discuté de plusieurs sujets ayant trait au monde du travail international, y compris Wal-Mart et sa position modifiée à l’endroit de la syndicalisation. La réunion s’est terminée sur un ton d’enthousiasme, et certains participants ont suggéré que l’approbation de Wal-Mart face à la négociation collective marque le début d’une nouvelle ère pour la compagnie.
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